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Accueil > Sciences exactes et naturelles > Médecine > Irène Frachon

Irène Frachon

médecin pneumologue à Brest

L’affaire du Médiator : les leçons d’un scandale

jeudi 23 juin 2011 20h00

 

Irène Frachon est un médecin français né le 26 mars 1963. Pneumologue de formation, elle a notamment joué un rôle décisif dans l’affaire du Benfluorex (ou Mediator), un médicament commercialisé par les laboratoires Servier à partir de 1976 et ayant provoqué la mort d’au moins 500 personnes.


L’affaire du Médiator démarre en 2007, quand Irène FRACHON, , médecin pneumologue à Brest, alerte les autorités sanitaires. En effet elle constate des problèmes cardiaques chez ses malades qui utilisent un médicament, le Médiator, comme coupe-faim. Elle dénonce alors la position et les agissements des laboratoires Servier dans son livre « Le Médiator, combien de morts ? ». Depuis, cette « affaire » a mis en évidence des conflits d’intérêt et de graves lacunes en matière de santé publique.

Avec Irène Frachon, nous chercherons à mieux comprendre les questions de santé qui nous concernent au quotidien :
 Quelle place pour les médecins comme lanceurs d’alerte ?
 Quel est le rôle des agences de sécurité sanitaire ? celui des politiques ?
 Comment se mettre à l’abri des conflits d’intérêt ?
 Sommes-nous bien protégés de nouveaux scandales analogues ?
 Sommes-nous assez vigilants ou exigeants ?
 En cas de faille du système, qui doit payer ?
 Saurons-nous en tirer les leçons ?


Voir en ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%...




Messages

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  • Bonjour,
    Merci à Irène Frachon pour l’action qu’elle a mené jusqu’au bout malgré toutes les embûches qu’elle a du franchir pour en arriver à faire éclater la vérité. Merci au nom de tous les patients concernés.
    Il est bien dommage que les malades contaminés par le Sang et atteints par le VIH et/ou le VHC n’aient pas trouvé un tel porte parole.
    Cette phrase "Les leçons d’un scandale" prouve bien que le notre a déjà été oublié.
    La différence entre l’histoire de Servier et la notre est que la première est une affaire d’un labo privé contre l’Etat,
    la seconde est devenue une affaire Etat contre Etat, alors bien sur, çà devient beaucoup plus compliqué ou du moins, profondément silencieux.
    Après un simulacre de procès, les protagonistes sont tranquillement rentrés chez eux. Il n’en sera pas de même pour ceux de Servier, et c’est tant mieux.
    Grâce à diverses associations percutantes les contaminés VIH ont pu, pour certains, être indemnisés rapidement et correctement. En ce qui concerne les contaminés VHC, c’est une autre histoire. Nous sommes pourtant beaucoup plus nombreux, mais la maladie est la plupart du temps muette et longue dans son évolution.
    Toutefois, les traitements sont longs et dévastateurs sans assurer la guérison. Il faut se remettre à l’ouvrage plusieurs fois avant que par miracle les molécules fonctionnent.
    Pendant ce temps, la vie passe.
    Pendant ce temps, beaucoup perdent leur boulot, leur conjoint et se retrouvent dans un état de précarité indescriptible. Il faut lutter contre le virus et contre les tribunaux, c’est énorme comme énergie demandée. C’est tout bénef pour l’Etat.
    Beaucoup lâcheront l’affaire au premier Tribunal Administratif tant tout est fait pour qu’à un moment donné on se sente coupable de…
    Tout çà dans l’indifférence générale : les politiques, les médias, la justice.
    La sois disante miraculeuse ONIAM n’étant juste là que pour une illusion de justice.
    Je souhaite bon courage à tous.

  • Médiapart le 01 septembre 2011 par Michel de Pracontal
    Fonds d’indemnisation du Mediator : un trompe-l’œil ?
    article ci-joint

  • Le Télégramme 6 mai 2018

    Médiator. Procès en 2018 : la colère d’Irène Frachon

    La justice promettait un procès rapide mais les victimes du Médiator vont devoir s’armer encore de patience.
    Selon une information du Figaro, le procès du médicament fabriqué par les laboratoires Servier ne devrait pas se tenir avant 2018.
    Le Parquet de Paris avait ouvert deux informations judiciaires en 2011 pour « tromperie aggravée par la mise en danger de l’homme ainsi que ceux d’ingérence et de prise illégale d’intérêt, de complicité et recel de ces délits » et « homicides involontaires par violation manifeste d’une obligation de sécurité ou de prudence, et blessures volontaires aggravées » ainsi que complicité de ces délits.

    Justice à grand spectacle ?

    Sept années d’attente interminable, qui mettent très en colère la pneumologue brestoise Irène Frachon, qui dès 2007 avait constaté les problèmes supposément liés à la prise du médicament, notamment des valvulopathies et de l’hypertension artérielle pulmonaire.
    « L’attente d’un procès par les personnes empoisonnées par le Médiator dure depuis cinq ans déjà.
    Pendant tout ce temps, les victimes ont été livrées sans défense à la férocité des cabinets d’avocats-voyous de Servier », explique-t-elle, craignant la récupération du drame du Médiator afin d’en faire une opération promotionnelle de justice à grand spectacle.
    « L’affaire du Médiator, après avoir révélé les défaillances de nos institutions de santé publique va-t-elle montrer à présent le cynique dévoiement de notre justice ? », poursuit-elle avec virulence.
    Mis sur le marché en 1976, le Médiator a été interdit à la vente en 2009, après les travaux de la spécialiste et de ses équipes du CHU de Brest.
    À cette époque, plus de 300.000 personnes prenaient ce médicament, à l’origine destiné aux diabétiques, mais utilisé comme coupe-faim.
    Il serait responsable de la mort d’au moins 500 patients, et 1.300 selon l’Inserm.
    Des chiffres toujours démentis par les laboratoires Servier.

    © Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/france/mediator-proces-en-2018-la-colere-d-irene-frachon-06-05-2015-10618243.php

  • Légion d’honneur d’Henri Nallet : la lettre au Président d’Irène Frachon
    http://www.liberation.fr/societe/2015/07/17/legion-d-honneur-d-henri-nallet-la-lettre-au-president-d-irene-frachon_1349268 via @libe

    TRIBUNE

    La pneumologue de Brest, à l’origine de l’affaire du Mediator, est très en colère, en ayant découvert qu’Henri Nallet, ancien garde des Sceaux de François Mitterrand, et surtout pendant plus de dix ans salarié du groupe Servier, vient d’être nommé commandeur de la Légion d’honneur, comme le notait jeudi Libération.

    Monsieur le président de la République,

    C’est avec stupeur et un grand désarroi que j’ai découvert dans la presse l’élévation de monsieur Henri Nallet au rang de commandeur de la Légion d’Honneur dans la promotion du 14 juillet 2015.

    Quelles que soient les qualités d’ancien ministre de monsieur Nallet, personne et surtout pas les victimes du Mediator n’oublieront aujourd’hui que monsieur Nallet a été entendu fin 2013 sous le statut de témoin assisté par les juges d’instruction dans l’affaire du Mediator pour son rôle en tant que conseiller spécial et personnel de Jacques Servier, notamment entre 1997 et 2008, soit exactement la période durant laquelle la tromperie exercée par Jacques Servier et son entreprise a pris un tour particulièrement criminel et lourd de conséquences humaines.

    Personne n’oubliera que monsieur Nallet a ensuite poursuivi ses lucratives activités de conseil en lobbying auprès de Servier jusqu’en 2013 et ce, malgré l’éclatement au grand jour du drame du Mediator fin 2010.

    Personne n’oubliera qu’à l’heure où les innombrables victimes du Mediator se débattent encore désespérément pour obtenir reconnaissance et indemnisation (fusse-t-elle hélas misérable), face à un laboratoire impitoyable, ce dernier se montre moins généreux, et c’est un euphémisme, avec ses victimes qu’avec ses conseillers spéciaux, décorés aujourd’hui, comme le fut jusqu’en 2009 Jacques Servier, d’une distinction qui signerait dans ce contexte le déshonneur de la République.

    Monsieur le président de la République, grand maître de l’ordre de la Légion d’honneur,

    je m’adresse à vous en tant que garant de la dignité de nos concitoyens, aujourd’hui bafoués et notamment ceux qui souffrent dans leur chair des conséquences de cet empoisonnement, pour ne pas permettre qu’une telle promotion puisse se faire sans entrave ni décence.

    Je vous prie d’agréer, monsieur le président de la République, l’expression de mon profond respect.
    Irène FRACHON

  • ENTRETIEN. Procès du Mediator. Irène Frachon : « C’est l’heure de vérité pour Servier »

    Ouest-France 23/09/2019

    https://www.ouest-france.fr/sante/affaires/mediator/proces-du-mediator-irene-frachon-c-est-l-heure-de-verite-pour-servier-6530672

    Plus de trois semaines après l’ouverture des débats, la pneumologue du CHU de Brest Irène Frachon, qui a révélé le scandale sanitaire du Mediator, sera entendue ce mercredi par le tribunal correctionnel de Paris. Elle revient pour Ouest-France sur la chronologie de l’affaire, dont l’origine remonte à la fin des années 2000. Entretien.

    Elle est celle par qui le scandale a éclaté au grand jour en 2010. Le tribunal correctionnel de Paris, qui conduit le procès pénal du Mediator, doit entendre mercredi la pneumologue du CHU de Brest, Irène Frachon. Plus de trois semaines après l’ouverture des débats, souvent arides, l’audition de cette lanceuse d’alerte est très attendue.

    « Soulagée » que ce procès se soit enfin ouvert, la pneumologue s’est confiée à Ouest-France. Elle rappelle comment elle s’est intéressée à cet antidiabétique des laboratoires Servier, largement vendu comme coupe-faim, prescrit durant plus de 30 ans à cinq millions de personnes.

    Elle décrit aussi ses longues enquêtes pour découvrir « la tromperie » et l’ampleur du nombre de victimes. Le Mediator pourrait avoir causé à long terme jusqu’à 2100 décès selon une expertise judiciaire. Irène Frachon explique également pourquoi elle n’a depuis jamais cessé de travailler sur cette affaire, dont elle estime que toutes les leçons n’ont pas encore été tirées. Entretien.

    Comment avez-vous abordé ce procès ?

    Sereinement. Soulagée qu’il arrive enfin. C’est l’heure de vérité pour Servier, qui a enlisé la justice par des manœuvres dilatoires : sur six ans d’instruction, trois ont été exclusivement consacrés à la procédure à la suite de multiples demandes et recours des avocats des laboratoires. Malheureusement, depuis les premières plaintes fin 2010, des dizaines de victimes du Mediator qui attendaient intensément la justice sont décédées.

    De quelle façon votre enquête, qui a révélé le scandale, a débuté ?

    Une dame obèse souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) arrive au CHU de Brest en 2007 et je découvre qu’elle est sous Mediator. Ça m’interpelle car dix ans auparavant, un coupe-faim de Servier, l’Isoméride, avait été retiré du marché : un lien entre sa consommation et l’HTAP ayant été établi. Et on m’avait parlé ensuite d’un doute sur le Mediator, peut-être assez proche de l’Isoméride… Je me suis aperçue que le doute n’était toujours pas levé en 2007, malgré des signalements à l’agence du médicament. J’ai donc décidé de creuser la question.

    Que découvrez-vous ?

    J’apprends vite qu’il y a aussi des cas de lésions cardiaques (valvulopathie) sur des patients ayant pris du Mediator. Alors je m’engage dans deux longues enquêtes. L’une, un peu policière, pour savoir ce qu’est le Mediator. J’ai pu retrouver des documents démontrant qu’il est très proche de l’Isoméride, contrairement à ce qu’affirme Servier quand je l’interroge. La deuxième est scientifique : une étude lancée avec le centre d’investigation clinique de Brest, car l’agence du médicament n’était pas réceptive à mes alertes. On obtiendra finalement le retrait du Mediator, en novembre 2009. Mais ça se fait en catimini. Moi, je me dis que ce n’est pas possible, qu’il y a des victimes, une tromperie, un crime dont j’ai des preuves.

    C’est la raison de votre livre, Mediator 150 mg, combien de morts ? (édition Dialogues) ?

    Oui. Il sort au printemps 2010. Aussitôt attaqué par Servier qui réussit à faire interdire le sous-titre. Mais le député PS, Gérard Bapt, publie après une tribune médiatique, en reposant la question du nombre de morts. L’agence du médicament est contrainte de faire une étude et reconnaît au moins 500 morts. Le scandale éclate.

    Vous n’avez depuis jamais cessé de vous investir dans ce dossier ?

    Jamais. Pourtant tout semblait bien parti en 2011 : instruction pénale lancée, loi d’indemnisation des victimes votée… La loi « Bertrand » aussi, visant à renforcer la transparence sur les liens entre l’industrie pharmaceutique et les experts dans le domaine de la santé, question importante soulevée par l’affaire.

    Mais à partir de 2012, catastrophe. L’indemnisation des victimes se passe mal avec Servier. Elles sont aussi massivement déboutées par le collège d’experts mis en place : des cardiologues ne croyaient pas au scandale du Mediator. Il a fallu tout redémontrer, reprendre des milliers de dossiers. Ça tourne mieux seulement depuis 2017.

    À côté, l’instruction pénale a été longue. Quant à la loi Bertrand, le corps médical y a opposé une espèce d’opposition passive. Les choses n’ont pas fondamentalement évolué. Mais une jeune génération de médecins arrive en pointe sur ce combat qu’il faut poursuivre.



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