L’association "La Liberté de l’esprit" tiendra son assemblée générale annuelle le jeudi 22 septembre 2022 à 18h00, à l’Espace associatif Waldeck-Rousseau, 1 allée Monseigneur Jean-René Calloc’h à Quimper
Professeure émérite du CNAM, où Nicole Gnesotto a créé la chaire « Union européenne », et vice-présidente de l’Institut Jacques-Delors. Spécialiste des questions européennes et de défense, elle a occupé diverses fonctions au ministère des Affaires étrangères, à l’Union européenne et à l’Ifri. Elle a été la première femme à présider l’IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale)
Gwen Pallarès, maîtresse de conférences en didactique des sciences à l’Université de Reims Champagne-Ardennes, travaille sur l’enseignement de l’argumentation et de l’esprit critique, notamment dans le contexte de débat sur des questions socioscientifiques, des questions de société qui mettent en jeu les sciences et techniques. Elle s’intéresse également au rôle des valeurs dans l’argumentation, et à l’enseignement de valeurs par l’argumentation.
Géographe, Ilaria Casillo est maîtresse de conférence à l’Ecole d’Urbanisme de Paris, à l’Université Gustave Eiffel, à l’Université Paris Est Marne‐la-Vallée (UPEM) et a été nommée en 2015 vice-présidente de la Commission nationale du débat public. Elle est docteure en géographie du développement et chercheuse au sein du laboratoire Lab’Urba. Ses thèmes de recherche portent sur la participation citoyenne, notamment sur la production et la gestion participative de l’espace et des politiques publiques, sur les conflits liés aux grands projets, et sur les transformations urbaines.
co-organisée avec le Mouvement Associatif de Bretagne, ADESS Cornouaille-pôle de l’Economie sociale et Solidaire, Espace Associatif de Quimper, Ligue de l’enseignement, CAE Chrysalide, ACTES en Cornouaille et La liberté de l’esprit
Le monde est déchaîné. La violence n’y a pas reculé, comme le pensent certains. Elle a changé de formes, et de logique, moins visible, plus constante : on est passé de l’esclavage au burn-out, des déportations à l’errance chronique, du tabassage entre collégiens à leur humiliation sur les réseaux sociaux, du pillage des colonies aux lois expropriant les plus pauvres... L’oppression sexuelle et la destruction écologique, elles, se sont aggravées.
Après 2 années de crise Covid, on peut mieux évaluer les multiples conséquences des crises sanitaires, à la fois sur les relations sociales, le comportement des citoyens et enfin sur les politiques publiques dans le domaine sanitaire.
À l’heure du défi climatique, écologique et énergétique, doit-on, ou même peut-on continuer à vouloir faire croitre nos économies ? Réfléchir sur la décroissance c’est déjà penser que la croissance n’est pas éternelle, et que peut-être elle n’est plus souhaitable dans le contexte actuel.